samedi 6 avril 2013

Gonfle Nawaks 06/04/2013




Lieu : Saint Denis
Météo : Froid et légèrement ensoleillé

Deux semaines après une belle bataille au Kosovo, c’est en terre hostile du nord de Paris que les Cocks ont rendez-vous avec les Nawacks pour ce dernier match de poule qui scellera notre destin. Pas vraiment de quoi effrayer la horde de cocks prête à en découdre, tous présents à l’heure, mis à part Juju qui visiblement aura eu quelques soucis avec la G7, et qui nous retrouvera un poil plus tard dans le vestiaire.
Après une petite mascarade pour trouver ce fameux vestiaire que même le gardien ne savait pas trop situer, nous voilà sur le pré pour l’échauffement. Première surprise : le terrain semble tracé pour une rencontre de balle au prisonnier. Mis à part ce détail (qui aura son importance), le sol est extrêmement sec et l’épaisseur moyenne des mecs d’en face sur l’échelle du sandwich, se rapproche plus du casse-croute de chômeur que du burek. La rencontre promet donc d’être coureuse et les consignes de Juju sont claires « A défaut de rentrer sur les essieux, on finira sur les rotules ! Pas d’économies dans le replacement défensif, et il va falloir y mettre la gueule ».
On y est enfin, la concentration est là, après un petit discours de l’arbitre, le coup d’envoi est enfin donné. Les premières minutes sont assez longues, beaucoup de phases de jeu s’enchainent, l’arbitre semble plus à l’aise dans le discours d’avant match que dans le coup de sifflet (pour les deux équipes), il faudra s’y faire. Les deux équipes jouent beaucoup, n’hésitent pas à alterner occupation et relances, ce qui permettra notamment à Matt ROSZ de s’illustrer par sa légendaire insaisissabilité, et à Fabio de distribuer un gros tampon sur l’arrière adverse qui essayait de relancer sans avoir vu le front luisant de M. le président.
A la suite de quelques temps de jeu, Jésus use de ses crochets pour aller s’écrouler dans ce qu’il pensait être la terre promise. Malheureusement, après 2 secondes de confusion générale, nous comprendrons vite qu’il s’agissait en fait de la ligne des 5 mètres. Les fourbes d’en face en profiteront pour amorcer une relance de leur presque – en – but et après quelques passes vers le large, gagneront vite du terrain pour finalement planter leur premier essai.
Nawacks 1 – COTT 0
Remise en jeu. Nos adversaires du jour très coureurs, souvent nombreux au soutien, remettent la main sur le ballon. Il leur faudra peu de temps pour trouver une nouvelle faille et scorer pour la seconde fois.
Nawacks 2 - COTT 0
La partie s’annonce mal engagée. Alex profite de l’arrêt de jeu pour remobiliser tout le monde et faire appel à la fierté des cocks. Nouvelle remise en jeu, ou plutôt nouveau coup d’envoi. En effet dès ce deuxième essai encaissé, le match prend une nouvelle tournure. Nous sommes plus rigoureux en défense, plus mobiles, plus durs, les RONCE deviennent les HERRERO, et dans la RRRACKK, la cosa nostra est lâchée. Ce soudain élan d’affection pour nos adversaires provoquera d’ailleurs une première échauffourée pour une sombre affaire de ballon jeté.
Ces bonnes résolutions vont vite apporter les effets escomptés, les adversaires du jour voient beaucoup moins la gonfle que durant les 15 premières minutes, et se consomment bien plus au sol. Sur une sortie de ruck au centre du terrain, le ballon est écarté vers l’aile, Newbit coutumier du fait depuis la Slovénie perce le rideau défensif pour porter la gonfle jusque dans les 22, fixer l’arrière, et transmettre à la Kalash qui fera parler les cannes pour aller aplatir en coin.
Nawacks 2 – COTT 1
Les cocks reviennent dans le match et c’est mené sur le score de 2 à 1 que la mi-temps est sifflée. Durant la pause, le message transmis est le même, il faut continuer dans l’agressivité et comme le dirait si bien les demis il faut « leur marcher sur la gueule ».
La seconde mi-temps reprend donc dans la continuité de la fin de la première. Nous nous employons à remettre la main sur le ballon et à les agresser dans le jeu. Après un long moment passé dans leur 22, Grib - en pleine confiance après avoir choppé le mercredi précédent au Recrutement - s’empare de la balle pour aller marquer.
2 partout
Nouveau coup d’envoi, mais la physionomie du match ne change pas. Nous campons dans leurs 22, et avons droit aux fameux appels furtifs d’Alex « Ju ! Ju ! Euh non, Jeannouz, Jeannouz !!! ». Sur une mêlée placée dans l’axe, La Kalash part côté inversé, fixe et transmet à la Pioche. Ce dernier, aussi léger et véloce qu’après un passage aux toilettes du Companieros, dépose la défense et file marquer (pour de vrai cette fois ci) entre les poteaux.
Nawacks 2 – COTT 3
C’est également sur mêlée que nous inscrirons notre quatrième et dernier essai. Sur une « transgenre » moitié René – moitié Isabelle, Puceau transmet à Jeannot. Celui-ci après avoir pris l’avantage sur la défense et mobilisé deux défenseurs (c’est lui qui me l’a dit), remet le ballon à Paddy, qui après contact, trouvera d’une passe à rebond assez étrange Wiwi. Le dernier larron de la troisième latte, avec deux Nawacks sur le dos, réussi tout de même à s’arracher et à aplatir.
Nawacks 2 – COTT 4
La fin du match ne verra pas l’intensité baissée. On verra même quelques accolades entre cocks et Nawacks. Grib ne chantera pas mais ne se privera pas de quelques boutades, tandis que Guido leur apprendra furtivement comment on plante les choux à la mode transalpine. En fin de match, les locaux, probablement piqués au vif par le revirement du score, campent dans nos 5 mètres. Ça pousse, c’est chaud, on est serré, mais étrangement personne ne chante. Nous restons concentrés jusqu’au coup de sifflet final.  
Score final: Nawacks 2 – Cocks of the tiger 4. Un match à l’image de la saison régulière écoulée avec un début plein de doutes, et une fin menée tambour battant.
MIAM 

samedi 9 mars 2013

Gonfle Drink team 09/03/2013






C'est donc maintenant à mon tour de vous raconter la façon dont j'ai vécu le match de samedi et cela sans connaitre tous vos surnoms. Ce n’est pas grave, comme on dit chez moi : tapea te paari et paamu. J’aime le challenge et c’est d’ailleurs pour ça que j’ai accepté la demande de Kalach, à savoir jouer 15 pour la première fois (quoique c’était ça ou faire rentrer Hubert alias One-shot).

Bien qu’elle se soit terminée par une défaite, cette matinée de samedi avait bien commencé, certains membres de l’équipe ayant pris l’initiative, pour s’échauffer, de garer leurs voitures à l’extérieur du stade (après le 10e km j’ai arrêté de compter…). Nous voilà donc partis, longeant l’ancienne forteresse polygone à cinq cotés du Mont-Valérien (construite de 1840 à 1846, l’un des 16 forts entourant Paris, pour ceux que cela intéresse) afin de rejoindre le stade où nous attendaient nos adversaires du jour. Mais étonnamment, vu que nous avions pour guide notre cher Touf, il nous fut impossible de rejoindre le terrain à moins de couper à travers forêt. Ce que nous fîmes, la truffe en l’air, à la recherche d’éventuelles caravanes si chères à notre terrain d’entraînement favori, pour retrouver le reste de l’équipe garée quant à elle près du vestiaire (les petits joueurs). 

Enfin, après moult péripéties, nous voilà donc au stade et… Quel stade ! Bercé par le soleil, ce stade avec vue imprenable sur Suresnes accueille déjà nos adversaires qui, conscients du combat à venir et de l’enjeu, s’échauffent depuis un bon mois. Ce qui n’est évidemment pas le cas d’un Cocks qui, préférant garder ses forces pour la bataille (ou étant trop à la bourre), se contente d’un petit échauffement d’une trentaine de minutes, voire d’une vingtaine de minutes, voire même d’un petit tour de terrain.

Et voici donc le coup d’envoi de ce match important, autant pour nous que pour nos adversaires qui souhaitent prendre leur revanche suite au match nul de notre première rencontre.
La première mi-temps est frustrante car même si ce ne sont pas les occasions qui manquent, on ne les concrétise pas. À l’image du très bel échec du Puceau qui aplatit à quelques millimètres de la ligne d’en-but après une belle action collective impliquant plusieurs de nos arrières. La tentative de dunk consécutive réalisée par Guigui au-dessus du regroupement n’y change rien, le chat reste maigre (0/0).
Il faut dire qu’en face, la charnière n’est pas mauvaise et la défense est organisée. Ils perturbent le jeu en alternant souvent au pied (que le 10 à de bon d’ailleurs), et en écartant leurs ballons aux ailes.
Malgré tout, nous tenons bon et avons même l’avantage en terme d’action dans cette première période. Mais alors que la jument n’a pas encore tourné le dos au foin, voila que, profitant d’une inattention de notre défense, la Drink team aplatit dans notre en-but et ouvre le score (1/0).
S’ensuivent quelques changements rendus nécessaires par la fatigue, et voilà que One-shot fait son entrée sur le terrain pour 2 minutes, afin d’augmenter nos statistiques-blessés : un match de rugby sans blessé, est-ce vraiment un match de rugby ?
Quoi qu'il en soit, nous devons encore concéder un essai à nos adversaires qui, profitant toujours d’une faille de notre ligne, se glissent le long de la touche et aplatissent derrière nos poteaux (2/0).

C’est la mi-temps, les bouteilles s’échangent et les conseils fusent, il faut éliminer notre frustration et repartir au charbon…

La seconde période est encore plus frustrante que la première car les arrières sont sevrés en ballon et les avants, malgré leurs efforts, n’atteignent pas la ligne d’en-but. Les minutes défilent et le score reste inchangé.
Mais alors que le cochon est dans le maïs, Jeremy alias Touf récupère un ballon tombé au sol et s’élance vers le camp adverse, suivit par 4 ou 5 joueurs adverses. Ils ne le rattraperont jamais grâce aux encouragements de l’ensemble de l’équipe, restée au soutien à moins de 200m, et de sa seule supportrice (2/1).
Hadrien, stimulé par cet essai, nous sort le grand jeu et, partant de son couloir droit, repique au centre, croise et redouble avant d’aller s’empaler sur l’épaule de l’ailier adverse.
Les avants ne sont pas mieux lotis car ils piétinent, aidés par l’arbitre à la vue floue mais à l’ouïe fine, qui à l’inverse de ce qu’il devrait faire, retourne les fautes contre nous pour contestation.
Krishna reste pourtant vif dans cette partie et se saisit d’un ballon tapé au pied, si je ne m’abuse par Kalach, et prend ainsi à revers la défense adverse. Malheureusement, cette initiative est stoppée par des arrières vigilants et le jeu repart au centre.  
Pendant ce temps-là, certains avants (Roncero 1 et 2, et le Puceau) qui pensent que le rugby c’est comme la dinde : sans marrons, c’est vulgaire, commencent à titiller leurs adversaires par des mots doux pour les déstabiliser. Stratégie qui reste vaine, le score demeure inchangé et les équipes rentrent aux vestiaires.

Votre bien dévoué – Mika (alias Baudeulaire)


samedi 16 février 2013

Gonfles Rebelles 16/02/2013




Rdv porte maillot : 2 personnes à ramasser, notre cher président et Adrien qui nous vient de Toulon. Notre toulonnais a mis de la fraicheur dans une matinée qui n'en manquait pas. Sur la route de Fontenay en parisis, au niveau de Roissy, voyant passer de nombreux avions dans le ciel, Adrien nous fait une belle toulonnaise : '' il y a un aéroport dans le coin? Parce que y a du trafic!' Je réponds ben oui, c'est Roissy! Telle une évidence pour le parisien de base que je suis.
Une belle matinée de rugby en perspective : beau soleil, un terrain gelé ne demandant qu'à se réchauffer sous les rayons du soleil et sous les crampons de 22 guerriers. Des rebelles toujours aussi sympas, super accueil, bon esprit sur le terrain.
Victoire 6-1 (2-1 a la mi-temps). On s'est régalés! Tout le monde est sorti de ce match avec la banane, avec l'assurance d'un we réussi.

Une fois n'est pas coutume. Même si le rugby fait toujours passer le collectif devant l'individu, je vais vous parler des joueurs, des copains, des mecs!

La première ligne
Les Roncé, on ne peut pas les séparer depuis leur naissance! Quand l'un s'envoie au près d'un regroupement, l'autre est juste derrière pour relancer! Malgré leur taille fine légendaire, ils aiment galoper, s'envoyer. Matthieu a même été récompensé par un essai, celui du pack qui l'a emmené fièrement dans l'en-but adverse, ces 8 mecs comme un seul homme, juste avant la mi-temps comme pour annoncer la couleur de la 2e.
Fabio parle rarement de son âge! Il a raison. Ça se voit pas sur le terrain! Il galope, va péter joyeusement. Il nous a même gratifie d'un raffut d'école de rugby. Son âge se voit uniquement quand après une accélération dont il a le secret, il se sent oblige de demander si quelqu’un ne veut pas rentrer!
Maxence aurait pu mériter la gonfle pour ses 2 en avants (peut-être même 3, je ne me souviens plus). Il avait incontestablement très envie, mais il avait oublié la colle à la maison. Maxence souviens toi : on prend le ballon ovale comme on cueille une fleur. Fais preuve de plus de délicatesse!

2e ligne
Grand Nico. Empereur de 2e ligne. Il a plane en touche, à grandes enjambées, il a régalé le pré, le genre de joueur qui ne passe jamais à travers. Sa mine réjouie faisait plaisir à voir à la sortie du match.
Archi, le spécialiste du caramel : le dur, le mou, le sale. Il nous a gratifie de quelques beaux tampons comme on les aime, ceux qui font un bruit sourd à l'impact.


3e ligne
Paddy, notre bigoudène à barbe, nous démontre match après match qu'il est l'homme aux 3 poumons. Il est partout : il saute, il gratte, il pète (au sens rugbystique!), il court, il chasse, ... M habituant a ce gros volume de jeu, je ne comprends pas pourquoi paddy a la sortie d'un ruck n'est pas déjà sur la ligne côté opposé. Il aurait même pu après un déboulé sur l'aile (eh oui, on pourrait presque l'imaginer a l'aile) marquer son essai mais il lui manque tout de même quelque chose : la pointe de vitesse!
Wiwi est du genre extraverti! C'est le seul mec qui parle tout en jouant. Début de 2e mi-temps, on envoie du jeu, beaucoup de jeu, avec un mec qui pète, ça sort vite et ça envoie au près un autre mec et ainsi de suite. Du rythme, beaucoup de rythme et là le Wiwi, pris dans un élan orgasmique, en courant ballon en main déclare 'putain que c'est bon, c'est le pied!' Un grand moment. Le mec qui commente en live tout ce qu'il ressent! Je plains sa femme.
Medhi est plutôt du genre intraverti. On ne l'entend pas mais il fait le boulot. Un énorme travail de grattage dans les rucks. Il les a emmerdés tout au long du match. Il se blesse, il ne dit rien. On lui dit de venir alors qu'il boite bas, il revient. Chapeau mec!
Laurent, notre roc, de retour de blessure pour notre grand plaisir s'est remis très vite dans le rythme en allant péter joyeusement dans la chair fraiche adverse. Une blessure vite oubliée!

Les demis
Juju, votre serviteur n'efface pas 25 ans de rugby comme ça. Alex, notre capitaine avait décidé avec l'arbitre de ne pas jouer au pied hormis dans les 22. Et là le reflexe, les automatismes. Et vas-y que je balance un premier coup de pied au-dessus de leur défense dans leurs 22. Pénalisé! Et de un. Un ballon qui traine derrière leur mêlée, je monte et un bon vieux coup de tatane. Et de 2. Et puis un 3e. Je crois que je me suis arrêté là. A l'unanimité, j'ai donc reçu le privilège de faire cette gonfle car j'ai dû en gonfler plus d'un avec mes pieds!

Matthieu rozs a joué en 3/4 avant de me remplacer à la mêlée au milieu de la 2 e mi-temps à la mêlée. Il a mis le feu à chaque prise de balle. Ses cadrages ont fait merveille et il a été récompensé de 2 essais dont un de filou en jouant vite une pénalité au pied de l'arbitre alors que nos adversaires discutaient et se replaçaient.
Alex, notre capitaine, a mis le ton dans son discours d'avant match avec son accent chantant du Sud, nous rappelant qu'on était bien là pour du combat et pas pour une ballade champêtre. Nos adversaires du jour étaient gaillards et pouvaient nous faire déjouer si l'engagement n'était pas là. Alex a mis du jeu, de la vitesse dans notre ligne de 3/4 sans rechigner a retrouver les gros au chaud!


Les 3/4
Fum, fidèle parmi les fidèles, s'est régalé dans son rôle de centre. Notamment en neutralisant le bastareaud adverse. Nous gênant en début de match, ce dernier s'est éteint au fil du match dégouté par les coups de boutoirs de notre Fum assisté de Julien!
Julien sous ses airs de grand calme nous a fait une bonne démonstration de débranchement. Il a failli déclencher une belle générale. Notre julien a débranché, rejoint très vite par Alex et aussi très vite par une meute de gros ne demandant qu'a dégoupiller. Les vieux ont calmé les ardeurs de notre Julien. Merci Julien malgré tout car faut reconnaitre que ces moments mettent de bonne humeur...
Notre corse, positionne ce jour a l'arrière a parfaitement relancé l'équipe, sans hésiter à attaquer la ligne. Un engagement à faire oublier les vieilles blessures!
En discutant avec Trotin’ dans les vestiaires avant le match, on a convenu qu'il fallait remonter tous les ballons à la main, de mettre les cannes aux quatre coins du terrain. C'est que Trotin’ a fait pendant 80 min. Un super match, 2 essais!
Même consigne pour Newbit qui a mis de l'impact dans ses remontées de balles. Il fallait 2 à 3 joueurs pour l'arrêter. Il en demandait toujours plus, quitte à m’appeler dans nos 22 en sortie de mêlée pour remonter la balle. A bon entendeur salut! Il a été récompensé par un essai à la suite d'une interception de julien qui pouvant marquer seul préfère donner l'offrande à Trotin’, lui-même pouvant marquer seul mais préférant partager le graal a Newbit! Un état d'esprit remarquable!
Adrien, notre toulonnais a mis toute sa vivacité au service de l'équipe. Du feu dans les jambes. Vivement un match près d'Orly!
C'était un beau moment de rugby, il suffisait de voir la gueule de chacun d'entre vous à la fin de match, avec la banane, fier du devoir accompli et ravi d'avoir été aux côtés des copains pour ce bon moment de combat et de partage. Vive les Cocks! Et évidemment une pensée pour tous ceux qui n'étaient pas là!

Juju aux pieds d'or...